A Lion's Death, Greener on The Other Side, Chance, … Deux romans, et une nouvelle, écrits par des Burundais : Dominique Ngendahayo Simbare, Lionel Ntasano, Joanna Kaze. Tous en anglais.
Il se passe quelque chose : alors que le Burundi s'ouvre économiquement et politiquement aux cultures anglophones environnantes de l'Afrique de l'Est, la littérature n'est pas en reste.
A travers des textes tourmentés, à l'image de l'histoire passée et présente de leur pays, de jeunes burundais s'essayent à raconter l'humain au quotidien. On avait des initiatives littéraires francophones (Prix Michel Kayoya, café-littéraire Samandari, dynamique sous-régionale autour de l'association Sembura).
Il faudra compter désormais avec des auteurs d'expression anglophone. Penser, encore une fois, à mettre en exergue tous ces travaux (en français, en anglais, en kirundi aussi) à travers un événement rassembleur, à l'instar du cinéma burundais et son Festicab (qui fête durant ce mois de juin sa sixième année d'existence.)
Continuer à construire, nourrir l'envie d’écrire, rassembler, assembler …
Des mots qui n'auraient pas choqué l'immense Maya Angelou (née Marguerite Ann Johnson en avril 1928, dans le Missouri, aux Etats-Unis) qui s'en est allée le 28 mai dernier. Elle disait, par exemple : « J'ai appris que les gens peuvent oublier ce que tu as dit, ou ce que tu as fait. Mais les gens ne peuvent pas oublier ce que tu leur a fait vivre/sentir. »
Ce qui est, précisément, la prétention première de la littérature.
- par Roland Rugero
A travers des textes tourmentés, à l'image de l'histoire passée et présente de leur pays, de jeunes burundais s'essayent à raconter l'humain au quotidien. On avait des initiatives littéraires francophones (Prix Michel Kayoya, café-littéraire Samandari, dynamique sous-régionale autour de l'association Sembura).
Il faudra compter désormais avec des auteurs d'expression anglophone. Penser, encore une fois, à mettre en exergue tous ces travaux (en français, en anglais, en kirundi aussi) à travers un événement rassembleur, à l'instar du cinéma burundais et son Festicab (qui fête durant ce mois de juin sa sixième année d'existence.)
Continuer à construire, nourrir l'envie d’écrire, rassembler, assembler …
Des mots qui n'auraient pas choqué l'immense Maya Angelou (née Marguerite Ann Johnson en avril 1928, dans le Missouri, aux Etats-Unis) qui s'en est allée le 28 mai dernier. Elle disait, par exemple : « J'ai appris que les gens peuvent oublier ce que tu as dit, ou ce que tu as fait. Mais les gens ne peuvent pas oublier ce que tu leur a fait vivre/sentir. »
Ce qui est, précisément, la prétention première de la littérature.
- par Roland Rugero
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